Luciano est parti
Aucun artiste n’est indispensable mais tous sont uniques. C’est en (ré)écoutant Werther que j’ai compris pourquoi Luciano Pavarottit nous manquait. En chantant « E lucevan le stelle », il pleure, puis il se reprend, son regard reste tourné vers l’intérieur de lui-même, sans aucune ostentation, plusieurs milliers de personnes sont bouche bée. De l’art à l’état pur, comme la Gioconda de Callas
Ecrit dans un avion entre Paris et SIngapour au dessus de l’Ouzbékistan (Salut à toi Monajat)