Conte de noël
Le conte ci-dessous est mignon mais il n'analyse pas correctement la dialectique religieuse. Lisez bien la chute : les méchants sont punis par le Père Noël. Là s'arrête la parabole. Dans toutes les religions, les hommes (prêtres, imams, rabbins, brahmanes, ...) disent ce qui est bon et ce qui est mal. Mais ils laissent toujours au(x) dieu(x) le dernier mot. Ce qui fait que l'extrémiste peut garder la conviction qu'il a fait le bien. C'est très fort. Et c'est pourquoi les fondamentalistes et les intégristes, respectant le dogme à la lettre, ne sont jamais totalement déjugés. L'excommunication, c'est pour les gêneurs vivants, qui remettent le dogme en cause.